« _. Idiot the one who says that the water is pure »[ Libre à qui veut. Viiiendez le Peeeuple \o/ ]

« ___. Le Topic qui sert à dire qu’il ne faut pas trop s’aventurer près d’l’eau,

car l’eau ça mouille ____ »

Libre

Pas à pas, tout en humant l’air frais qu’il faisait actuellement sur le Territoire du Goût. Un territoire que j’avais, moi Yaïta décidé d’explorer, pour mon bien et pour m’aventurer autre part. Ma fourrure argenté, cendrée, mes ailes, mes taches et ma chaussettes et moi-même allons nous dorés la pilule au bord de la plage. Du moins c’est ce que je voulais.

Malheureusement, intriguée par les lieux je voulus découvrir cet étrange endroit que je n’avais encore jamais visitée, en fait, je ne connaissais pas spécialement le monde de Cinq Sens. Pour moi c’était tout nouveau, donc un peu de culture sur ce monde me fera certainement un grand bien, alors bossons.

Yaï’, la jeune louve grisâtre marchait sur un sable étrangement différent, un sable bizarre et bien peu commun des autres sortes de sable, celui-ci était bien différent, en effet, jamais le lupin n’aurait pu voir un sable si sombre et sinistre avant. Puis, non loin de là se tenait un liquide parfait, magnifique. Une eau. De l’eau bleue turquoise étincelant de tous côtés, puis ce merveilleux paysage alentour, bref un beau coin.

Je décidai donc de m’aventurer un peu plus sur ces terres sèches. On voyait parfaitement une eau peu profonde et donc facilement accessible. Envisageant de se mouiller, l’animal argenté s’ébroua légèrement et s’avança plus près de la flotte qui offrait au recoin une certaine luminosité. D’ailleurs, par ici de la luminosité il en manquait, un ciel gris et pâle et un sable l’accompagnant avec une température plutôt fraiche et douce.

Ça fait toujours du bien un peu de fraicheur dans le cœur.

J’agitai ma queue de long en large avant d’aller scruter en dehors du lagon.

Avant de sortir de là je pu apercevoir une petite pointe jaunâtre au loin, par-dessus l’horizon et les flots. Sinon, en parlant de cette drôle de plage, globalement on pouvait tout simplement dire qu’elle était noire, sombre et poussiéreuse. Normal que le sable était froid, le ciel était gris, tout était si différent et peu banal.

Je ne savais guère l’origine de cette île microscopique mais je savais qu’un jour ou l’autre j’irai y faire un petit tour, l’histoire de voir un peu plus d’endroit et de savoir ce qu’il se cache derrière cette petite masse de terre et ses trois pauvres palmiers, enfin palmiers, c’est une façon de dire. On ne distinguait pas spécialement ce qu’il y logeait, sur cette île. Cette toute petite île. Je voulais me servir de mes ailes pour éviter de me mouiller, mais vraiment j’étais affaiblie par la marche.

C’est vrai quoi, marcher, marcher et remarcher à longueur de journée, au bout d’un certain moment ça crève. Vous ne trouvez pas ? Beh moi si. A croire que nous ne pensons pas vraiment les mêmes choses. Mais bon, passons. Ceci n’est point dramatique. En plus, dramatique ne signifie pas vraiment que c’est une catastrophe, en fait « dramatique » prend son étymologie du mot « drama » qui veut dire, en grec, « action » en gros « dramatique » veut dire « action ».

Bref.

A mes côtés se tenait un petit insecte ailé, tout comme moi, ailé hein pas insecte.

Cet insecte était miroitant et assez beau. Normal, il me tenait compagnie.

Vous désirez savoir la nature et l’espèce de cet insecte ? Je vous demande si vous vous brossez les dents le matin ? Non donc oubliez.

Mais ! Mais arrêtez de faire cette toute petite mine, c’est d’accord, c’est un magnifique papillon, comme vous le savez certainement, un papillon ça à deux ailes symétriques, deux antennes et un corps, ce n’est pas compliqué. Non mais.

Yaïta continuait son ascension sur une mini butte, enfin une mini dune construite par le vent, très certainement. Sur cette petite colline de sable on pouvait très clairement observer des éclats de lumières, allez savoir ce que c’était réellement. En déduction, en hypothèse j’opterais pour des éclats de brillance advenant des rayons de soleil qui arrivaient à s’écarter des épais nuages d’argent. Yaï’ ne bougeait pas spécialement, elle ne faisait pas le moindre geste. Non elle n’était pas morte, heureusement, ce serait balo. La jolie cligna de l’œil, de son œil droit plus particulièrement. Elle fit un geste brusque de la tête ce qui fit s’envoler ses cheveux qui dansaient dans le vent frais, un léger souffle d’air frisquet la réveilla d’un puissant coup qui la fit se retrouver au sol. Comment était-elle arrivée ici. ? Par la simple force du vent, tout simplement…

[ Bon flemme de faire hyper long hein ._. ]

Toujours à terre la jeune louve au poil de cendre se releva. Arrivée ici avec le gros doute et l’appréhension et repartira sans doute avec une chose en plus et dormira moins idiote ce soir.

Puis elle regarda au loin, l’insecte voletant toujours à ses côtés, d’ailleurs en parlant de ce papillon qui gesticulait sur mes pas, il commençait vachement à me taper sur le système celui-là. Il était gnian-gnian et ennuyant, toujours faire les mêmes pirouettes et les répétées à chaque envole, c’était franchement d’un agacement pas possible, et puis à force de faire mes minis-tourbillons dans le ciel, il n’a pas mal au crâne ? Sérieusement, même si je sais ce qu’est le ciel et que je sais ce qu’est voler, les tourbillons et les acrobaties dans les airs, très peu pour moi. Après plusieurs regards à travers l’horizon à guetter la moindre intrusion, Yaïta vit au loin une silhouette s’approcher d’elle. Au fur et à mesure que cet animal s’avançait, sa corpulence et ses formes commencèrent à se montrer, après plusieurs minutes Yaï’ découvrit que cet étrange animal était un cheval à la carrure pas très commune. C’est vrai, un cheval aux yeux si vert, une crinière de flamme rougeâtres qui était comme la queue, un espèce de liste prolongée sur les côtés rouge aussi et des marques qui peuplaient son corps étaient également rouge. Son corps était plutôt dans les tons sombres et macabres tel que le noir grisé, non ce n’était pas le même gris que moi, c’était un gris plutôt sadique et moins commun.

Enfin, globalement, en résumé cette bizarrerie chose qui s’approchait était vraiment étrange.

Cette jument, oui car au bout d’un certain moment Yaïta et sa chaussette distinguèrent son sexe, enfin elle ne l’avait pas vu mais juste « senti » voyait bien que la lueur effrayante de cette jument qui scintillait dans les pupilles dilatées de l’animal semblait fixer la louve qui n’avait pas vraiment le sentiment de la peur et de l’effroi mais plutôt celui de l’inquiétude.

Elle outra sa gueule et une rangée de dent blanche se montra. La créature de sang pensait à quelque chose enfin ça se voyait que quelque chose la chiffonnait.

Ses lèvres sèches s’écartèrent et elle annonça vaguement :

- Eh bien, que fait donc une créature du ciel, comme vous, aussi bas ?

Un sentiment de stress et de peur commença à me ronger de l’intérieur, déjà d’une sa voix ne m’inspirait pas grand-chose, puis sa tête si sombre, ses couleurs, celles qui faisait de sa robe une robe bien différente. Que répondre ? Mais que lui répondre ?

« Je n’avais guère l’envie de voleté plus haut »

Cette phrase ne fut pas tellement recherchée mais bon, quand on a pas les mots on peut pas chercher l’aiguille qui ne se trouve pas, ou du moins pas encore, dans la botte de foin.

- Venez-vous essayer de goûter aux mets de la terre ? Essayez vous de vous approcher un peu plus près de ce qui vous est inconnu ?

C’était quoi ces questions ? Vraiment, il y a des choses plus intéressantes. M’enfin je me contenterai de cela, du moment que je ne sers pas moi-même de met, le reste qu’importe.

Oui c’est drôle mais j’avais l’étrange impression que cette jument ne mangeai pas que les végétaux, ne me demandez pas pourquoi, c’était visible dans son regard machiavélique et ses manières.

Je me pris au jeu et lui répondit avec un sourire pas tellement visible.

« Il est fort possible que je veuille changer d’air. A ce qu’on pourrait dire ou croire, la curiosité n’est pas vraiment un défaut. C’est parfois un défaut, certes, mais parfois ça sert beaucoup et ça peut également vous savez la vie. »

Sachez qu’ici bas, les plus gros repas peuvent vite devenir les plus grands ravageurs.

Bon et bien ce n’était pas qu’une impression, d’après ce que je viens de comprendre, la jument voulait en gros me dire que la proie n’était pas toujours celle qu’il fallait plaindre et protéger. C’est bizarre mais je me sentais un peu mal. Ce mal être, mal à l’aise, le mal dans sa peau, vous savez, la chose qui vous ronge de l’intérieur dont vous ne savez pas vous défaire, oui et bien c’était cette drôle de sensation, qui n’était pas vraiment drôle d’ailleurs, qui me pétrifiais sur place. La grandeur de cette jument était assez impressionnante.

« Oui, oui »

Un fort soupire de mon fort intérieur se fit ressentir et je secouai ma queue de tous côtés.

[Ichiw pour mwa ? ]

[ouaiiiip :'D]

[ Quiqui doit répondre ? :3 ]

[édit : A Requiem ;3]

[ AHEM c'est effectivement à Requiem de rép hein XD]

[Requiem est pour l'instant au milieu d'un pays de choucroute et d'allemands en train de se debattre contre le Qwertz malefique et s'excuse humblement :B]

[ Mdr' no soucis x3 ]

[Donc, je réponds d'ici quelques jours si vous me promettez de répondre toutes les deux :3]

[ Up ! Topic à garder ou à jeter ? ]

» Qui qui veut =P ! !
» Oop's... [Cat's Water]
» Sorrow veut un cookie...
» MOUHAHAHA qui veut un topic ??
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