Ray1
Nombre de messages : 472 Age : 30 Race : Louve PUF : CalmMind Pouvoir : Souplesse hors du commun Date d'inscription : 20/09/2008
Votre perso Clan: Odorat Célib' ?: Huw ? Relations:
| Sujet: Tseuh. (PV Sorrow) Ven 12 Fév - 16:48 | |
| [ RP pourrit mais ça fait longtemps que j'ai rp avec Reila donc bon xDD ]
- Mais qu’avons-nous fait pour mériter ça… Soupira-t-elle, épuisé.
Il faut dire que personne n’avait la forme, ces temps ci. Les plus actifs, comme Reila, voyait leur énergie et leur joie de vivre disparaître en un instant. Mais qu’est-ce qui pouvait bien causer cette étrange fatigue chez les habitants ? La jeune future guerrière eu un frisson de peur en repensant à son frère, Dénai, qui avait bien failli être tué par son propre pouvoir. Reila, elle qui passait ses journées à courir et à jouer les Indianas Jones, avait à peine la force de traîner son poids. Son pouvoir ne fonctionnait plus, sa souplesse hors du commun avait disparu. Soupirant, exaspéré, la loupiotte avançait lentement dans la forêt dansante, sans s’arrêter, tentant de vaincre sa fatigue. Ayant perdu presque tout espoir, elle leva les yeux au ciel. Étrangement, il faisait soleil. S’y étant préparé, sa vue commença à baissé, mais bizarrement, son odorat aussi. Perdu, affolé, ne voyant presque plus, elle tenta de retrouver son chemin ; sans résultat. Alors, la fille de Mara et Sorrow se laissa lourdement tombé sur le sol, épuisé. Incapable de voir, elle ignorait où elle se trouvait. Inquiète, elle entendit des pas lourds se rapproché. Son odorat ayant baissé aussi au lieu d’augmenter, elle ne pouvait pas déduire s’il s’agissait d’un membre de son clan ou non. Alors, elle se contenta de fermé les yeux, en soupirant.
- Tsss… | |
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Ray Admin cinglée
Nombre de messages : 427 Age : 33 Race : Louvard PUF : Caronat Pouvoir : Peut se rendre invisible dans les ombres Date d'inscription : 03/08/2008
Votre perso Clan: Vue Célib' ?: Hmpf Relations:
| Sujet: Re: Tseuh. (PV Sorrow) Dim 21 Fév - 18:49 | |
| Tseuh. Exactement ce que Sorrow avait sifflé entre ses dents il n’y a pas deux secondes. Locution plutôt attribuée à l’alpha de l’Odorat en général. Le grand loup brun traînait des pattes dans la forêt, il avait fait le long voyage depuis les terres de la Vue pour venir voir ses enfants et Mara. Pour les voir, voir comment ils allaient, si cette maladie les frappait aussi, si malgré tout ça ils arrivaient à bien le supporter. Et puis en ce moment il n’avait de cesse que de faire des allers-retours épuisants, mais son envie de voir sa famille surpassait sa fatigue. Il se traînait ainsi sur ces terres de l’Odorat, il avait besoin de voir ses enfants, d’être rassuré sur le sort de Mara, en voyant que Renji, l’alpha de son clan était complètement crevé et vidé de son énergie il espérait que sa famille n’était pas en si mauvais état. Lui-même semblait constamment fatigué, mais pas trop mal en point. Cependant il avait remarqué que son pouvoir se détraquait parfois, il ne pouvait plus rester aussi longtemps sous l’apparence de quelqu’un d’autre, et parfois ne se métamorphosait pas tout à fait correctement … De plus, ses yeux clairs turquoises devenaient de plus en plus sensibles au soleil. Bref, ça allait bizarrement.
Peut être s’était-il un peu perdu dans cette forêt immense qui recouvrait une grande partie du territoire de l’Odorat … Mais il arriva soudain sur une grande parcelle de terre, les arbres tout autour. Comme si une grande explosion avait tout balayé en formant un cercle géant. Comme une clairière à l’intérieur même de la forêt. Le vent souffla sur ses longues mèches et balayait doucement son pelage brun. Et ses yeux bleus se posèrent sur une petite silhouette au sol plus loin. Et cette silhouette il l’aurait reconnu entre mille, c’était celle de sa fille, Reïla. Oubliant sa fatigue et sa lourdeur dans ses pattes, il s’élança vers l’avant, au pas de course, voyant sa fille au sol, seule. Son galop équin était lourd et pesant, témoin de sa fatigue, mais aussi de son envie de voir sa fille.
- Reïla ! Reïla, ma petite, qu’est ce qui t’es arrivée ?
Respiration forte malgré sa course minime, il se coucha aux côtés de sa fille, l’entourant de ses pattes avants, protectrices et délicates à la fois. Il vit la mine fatiguée de sa fille, Sorrow posa sa truffe sur celle de la loupiotte, en tant que père, il était horriblement inquiet pour Reïla. Et désormais, sa fatigue de tout à l'heure passait dors et déjà au second plan. | |
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