La faute au monstre vert. [Pv Mara]

Aaah quelle super journée…. Non vraiment, le ciel était super bleu, les nuages trainaient doucement dans le ciel, super blanc, le vent soufflait doucement, c’était super agréable. Cette journée s’annonçait tout simplement super. Une journée idéale pour se promener, jouer, se détendre… La journée idéale, en plus, nous sommes en été, et le soleil brille haut et fort… Tout était fait pour la bonne humeur de tous. Et en ce lieu, vous obtenez une vu tout simplement superbe sur l’horizon. Au sommet de tout, au sommet de la vie. Cette falaise dominait les alentours, et faisait face au mont sacrée du territoire du grand cheval sombre. Au sommet, de cette même falaise, l’herbe y poussait, et elle était très verte et pleins de bonne vertu. Il y avait également quelques arbres ça et là pour crée un peu d’ombre.

Le jeune ado qui trainait dans ce coin était justement sous un de ces arbres, couché sur le dos les quatre pattes en l’air. Il avait l’air bien comme ça, l’oreille chatouillé par de l’herbe, et ses yeux tournés vers le ciel et le feuillage haut de l’arbre. Dénaï de son nom. Jeune chasseur en formation malgré sa drôle de couleur, en effet il n’est pas très discret. Noir, rouge et un peu de violet gris composait sa fourrure. Et ses yeux bleu indigo se voyaient à des kilomètres à la ronde. Ce jeune mordait la vie à pleine dents autant qu’il pouvait le faire, car durant les premiers mois de sa vie rien en fut très rose, Despise sa mère en est la cause. Que voulez vous, on ne choisit pas ses parents… Privée de l’amour parentale, Dénaï n’a jamais éprouvé aucune complicité avec sa mère. Heureusement que ça ne l’a pas empêché d’être ce qu’il était aujourd’hui.

Une sauterelle s’invita sur son nez, le jeune loucha pour voir quelle était cette chose étrange qui venait de lui bondir dessus… De son point de vue c’était tout simplement un énorme monstre vert…

-Bwaaaaaaaah ! C’quoic’truc c’est quoi ce truuuuuuuuuuuc ?!

Il se retourna et se releva d’un bon, la sauterelle sauta à terre, ce qui permit à Dénaï d’observer de plus près son « monstre vert ». Constatant qu’il n’était pas si gros que ça, il se mit en tête de se venger…

- Roger, cible repérée, prêt à l’attaque !

En position de jeu comme d’attaque, il sourit machiavéliquement envers la sauterelle…

-Muwaaa prépare toi à mourir mécréaaaaaaaaannnnte !

Sur ce, il bondit comme un chat vers sa sauterelle, il n’avait juste pas calculé l’arbre devant lui… Et BAAAM ! Tandis que sa sauterelle se carapatait, lui était couché devant son arbre, la tête contre le tronc… Il se releva et secoua sa tête, bizarrement il aurait cru entendre comme des sons de cloches… Seulement il voyait un peu flou et quand il se retourna, ce n’était pas un monstre vert, mais une bestiole incroyablement haute, grande et…. Beige. En plus elles étaient deux !! Enfin aux yeux de Dénaï qui n’avait plus vraiment les yeux en face des trous… Du coup il se jeta à terre, les pattes sur les yeux :

- NAN nememangerpasjesuispasdutoutcommestiblej’aipasbongoût !!

Une mandibule s’avançait dans une foret beige. Le petit insecte ne savait pas où il était. Il était passé à la végétation dense et verdoyante une autre végétation tout aussi dense mais à la couleurs bien moins appétissante. Ces brins d’herbes semblaient avoir péris, vous savez comme à la saison chaude où l’herbe bronze au soleil et finit même par en jaunir. La fourmis rousse testa immédiatement le coup de cet étrange végétal. Ces deux mandibules s’approchèrent de l’herbe, c’était vraiment étrange. Comment la nature avait-elle fait pour créer un être vivant qui ne présentait aucune phéromone? C’est vrai après tout, chaque être vivat aussi bien animal que végétal avaient un phéromone de décodage qui permettait de l’identifier par rapport à ces congénères, alors pourquoi celui-ci n’en possédait-il pas?
Une masse molle et rosée balaya la jeune soldate. De sa langue rappeuse, la louve profitait du soleil de ce début d’automne pour faire sa toilette. Elle inspectait chaque recoin de son anatomie canine. Chacun de ses poils était nettoyé, astiqué et enfin lustré pour la rendre parfaite. Elle récura également ses coussinets, lava ses griffes. Mais la louve interrompit sa toilette subitement. Elle se redressa rapidement, attentive plus que jamais. Ses oreilles étaient dressées sur sa tête et son regard fier scrutait l’horizon. Elle avait entendue un bruit qu’elle ne pouvait pas qualifier ni de gémissement, ni grognement ni même de hurlement. Qu’était donc la chose qui avait poussé se sale bruit?
La maître guerrière se servit donc de son talent pour découvrir la source de tout ce vacarme. Des odeurs inconnues le vinrent au nez. C’était un jeune loups, de quelques années seulement. Décidée à jeter un coup d’œil à cet étranger, elle partit à sa recherche. Et arrivant à une clairière, elle se retrouva nez à nez avec un loupiot au pelage fantaisiste. La pauvre bête semblait avoir très peur de notre guerrière.

“Ne t‘inquiète pas mon grand, je ne mange pas mes semblables.”

Que se soit la fourmi ou bien la sauterelle, ces deux insectes devaient chacun se demander sur quoi ils étaient tombés comme bestioles bizarre… Entre la fourmi perdue dans de l’herbe douce et brune, balayé par quelque chose de mou et rose, et la sauterelle qui se fait pourchassé par un géant noir et rouge… Les deux insectes devaient bien se demander où ils avaient encore atterrit… C’est dire que sur cette parcelle immense de verdure, les loups n’ont pas grand-chose à y chercher en principe. Les chevaux pourraient venir ici en quêtes de nourriture grasse et tendre de cette herbe. Mais les loups n’allaient pas jusqu'à grimper ici pour al nourritures qu’ils trouvent en bas, ou rarement du moins… Alors il était normal de ce demander ce que ce jeune ado d’un an et cette louve guerrière faisait ici.

Une louve oui, pas un infâme monstre géant brun n’est ce pas Dénaï ? Tout ça c’est la faute du monstre vert et de l’arbre… Mais bien sur. En attendant, au lieu de s’attendre à une vois bourrue et méchante, il entendu un rassurant
“Ne t‘inquiète pas mon grand, je ne mange pas mes semblables.” Ses semblables ?! Dénaï n’est pas un monstre enfin ! Il entrouvrit ses yeux à travers l’ouverture de ces pattes, et constata qu’en effet, il n’y avait pas de monstre brun…

- Ow…

Il se redressa et se mit assis face à la grande louve… Ne sachant pas trop à quoi ressemblait le maitre guerrier du clan auquel il appartenait, il renfila l’air et sentit qu’elle portait la même odeur de clan que lui

-Vous êtes d’ici aussi ? Comment vous vous appelez ?

Curieux de savoir qui elle était exactement, il se mit à avoir pleins de questions en tête… Qui c’était, quelle place avait-elle dans le clan ? Depuis quand elle était là …. Mais mieux vaut ne pas l’assaillir de question, le jeune savait que les adultes n’aimaient pas ça… Il en savait de par sa mère dont il s’est prit tellement de claques… En même temps ce n’était pas franchement le meilleur des exemples à prendre… C’était pas sa faute après tout… Mais aujourd’hui c’était les nourrices du clan qui s’occupaient de lui mais il aimait bien –comme en ce moment- leur filer entre les pattes.

Effectivement le jeune canidé ne s’était pas trompé. Elle appartenait bien au même clan que lui, celui de l’Odorat. Elle en était même la maître guerrière, c’est vous dire si elle n’était pas respecter dans son clan. A vrai dire, Mara n’avait aucune raison de ne pas se faire respecter. Elle était l’incarnation même de la sagesse et de la persévérance. Mara était une louve très spéciale et même complètement unique dans son genre. Elle possédait déjà un excellent mental, très intelligente et calculatrice. Mais pas seulement, elle est également très minutieuse et appliquée. Dotée d’un physique hors norme pour une femelle, grande, fine et musclée. Tout cela grâce à une seule et unique chose. Sa raison de vivre. Un art plus qu’un sport.

Le Kung Fu.

La louve svelte resta debout face à jeune loup. Elle ne l’avait jamais vu, mais d’après ce qu’elle avait entendu sur lui, il était le fils de Despise. Louve, qui n’impressionnait pas plus que ça Mara. A vrai dire elle ne l’appréciait pas trop, elle était comment dire... Trop terre à terre, ridiculement sadique.

“Je suis Mara, maître guerrière de notre clan.”

Et lui? Elle savait qu’il était le fils de la sadique, mais son nom, quel était-il?

“Et toi? Qui es tu donc?”

Dénaï l'observait attentivement... Cette louve était si impressionnante ! Elle était grande, très grande par rapport à Dénaï qui n'avait pas finit sa croissance... Mara était donc grande, et super musclée pour une femelle mais parallèlement elle était fine et avait une attitude détendue. Brune et sable, ses yeux bruns semblaient doux et confiant. Son air rassura tout de suite le jeune louvard, qui en même temps n'avait vu que le dur et cruelle regard de sa mère, Celui des nourrices aussi mais elles étaient plus « machinale » disons.
Si Mara était passionnée du Kung Fu, Dénaï lui était plus passionné par la chasse qu'autre chose, Mais pour l'instant il se limitait surtout aux jeunes lièvres plutôt que de se frotter aux dangereux cerfs pour son âge. L'art de chasser, courir et traquer les pistes, c'était comme jouer à l'espion ! Et puis de toute façon il n'avait pas envie de devenir comme sa mère, a savoir un guerrier ou un assassin. Et son pelage était trop voyant pour se cacher correctement pour espionner.

- Waaaouh vous devez être trop forte !

Impressionnant par son rang de maître guerriere, Dénaï se rappela cependant qu'effectivement, ce fameux maître guerrier maitrisant les arts martiaux s'appelait Mara, Mais il ne l'avait jamais vu, cependant Wind Sword en lui expliquant certaines choses lui en parlait beaucoup. Tout comme on parlait beaucoup de Dénaï comme le fils de Despise, mais lui voulait balayer cette image, il en avait marre de n'être associé qu'a elle et rien d'autre...

- Dénaï ! Chasseur en formation !

Se redressant et bombant le torse, il afficha un grand sourire de toute ces dents blanches. Il était fière et espérait devenir un grand chasseur pour servir son clan. Il fallait dire qu'il en devait gros à l'alpha, après tout i l'avait recueillit et protégé un moment. Finalement ce grand cheval sombre n'est peut être pas si méchant...

- Mais...Je n'arrive pas attraper plus gros que les jeunes lièvres...

Un peu déçu de lui même il baissa une oreille et détourna le regard vers un brin d'herbe un peu plus loin. Il aimerait tellement pouvoir avoir la fièreté de ramener un cerf entre sa gueule...

La louve claire prit son aise. Elle s’assit doucement dans l’herbe fraîche, sa queue enlaçait le reste de son corps. Elle observait le jeune mâle tout en l’écoutant. Il plaisait bien à Mara, il était franc et ambitieux. Elle était certaine qu’il ferait une excellente recrue pour le clan de l’Odorat. Il avait déjà un sérieux potentiel en étant le fils de la plus dangereuse des louves des terres de Cinq Sens. De plus, il avait quand même un sacré physique pour son âge. Mara le détailla précisément.
Le loupiot était svelte et semblait être souple. Il possédait de fines et agiles pattes avant et de puissantes postérieures. Un animal agile et impulsif. Un parfait chasseur.
Justement, il était en formation. Mara acquiesça, elle ne s’était donc pas trompé.

“Je me doutais que tu étais un jeune chasseur. Tu as une parfaite carrure.”

Mar sourit tendrement au jeune mâle.

“Tu feras une parfait recrue pour l‘Odorat, j‘en suis certaine.”

Mara aurait voulu rire lorsque le pauvre petit se plaignait de n’attraper que des lièvres, mais à la place de ça, elle se coucha au sol. La louve espiègle jeta un regard malicieux à Denaï et se positionna, prete à bondir. Son regard sombre arpentait l’horizon comme à la recherche de quelque chose.

“Il te suffit d‘un peu d‘entraînement Denaï.”

Assis dans l’herbe, Dénaï laissa son regard arpenter quelques infimes secondes le sol recouvert de verdures en tout genre. Il fallait dire qu’il arrivait souvent à se faire déconcentrer par pas mal de chose comme le ciel, les étoiles ou les nuages. Même un simple reflet dans l’eau. Grand rêveur assez étrange. Il sait pourtant être très concentré quand il le veut ! Il se demandait pendant un instant, comment pourrait-il réussir à chasser dans les plaines herbeuses avec son pelage aussi sombre et voyant rouge à la fois ? Ah puis ses coussinets bleus comme sa langue, petits détails bien étranges, mais finalement ils s’accordaient a ces yeux indigos. Il revint vite sur terres quand Mara recommença à lui parler. “Tu feras une parfait recrue pour l‘Odorat, j‘en suis certaine.” Le jeune sourit de toutes ses dents blanches, flatter et assez heureux d’entendre ça. Il fallait dire qu’à part ses « entraineurs » et l’alpha, personne ne lui disait ça. Il n’avait pas de parent. Enfin sa mère mais il l’a renié au même titre qu’elle l’a fait avec lui.

- J’espère bien ! Et même si j’y arrive pas, ben je persévèrerais encore et encore !

C’est que Dénaï était du genre tête de mûle. Un vrai entêter qui ne lâche rien… Il s’accroche à ses ambitions et pense toujours que quand on veut on peut. Il surpasserait ses problèmes génétiques de respiration et de sang pour y arriver. Un jour il a dit, j’aurais beau cracher mes tripes, rien ne m’empêchera de me relever si j’suis pas encore mort ! C’est sans doute sa forte détermination qui a plus à l’alpha et aux autres chasseurs. Tiens revenons à la chasse justement…
Il te suffit d’un peu d’entrainement Dénaï.
Surpris de voir la grande louve se coucher et se mettre en position pour bondir, Dénaï se releva comme un éclair, oreilles dressées, pattes pliés pour à son tour pouvoir bondir comme un ressort, et regard attentif.

- Ouaiiiis ! Aidez-moi à devenir meilleur !

Sans savoir qui de ses pattes ou de sa conscience avait décidé de sauter sur la grande louve marron et beige, Dénaï s’élança en un bond vers elle. Son but ? L’attraper bien sur ! Il prenait ça tout autant pour un jeu que pour de l’entrainement, il n’était pas si âgé que ça après tout, son esprit enfantin était encore bien présent !

[Manque d'inspi.]

Le sang de la louve ne fit qu’un tour. Elle sentit même son liquide se diriger au cerveau, en ressortir et filer directement dans ses pattes. Ses muscles se contractèrent à cet effet et dans un cycle parfaitement élaboré elle s’élança. Comme un ressort, les postérieurs du maître guerrier se détendirent pour le propulser. L’animal s’étira dans les airs de ton son long et retomba sur le sol pour détaler le plus vite qu’il le put. La bouche la Mara dessinait un large sourire. Comme une mère jouant avec son enfant, elle se surprit à prendre goût au jeu. La louve courait, à une allure largement calculée pour le jeune mâle puisse l’attraper seulement s’il se donnait à fond. Mara bondissait au dessus des hautes mottes de terres, se faufilait parmi les hautes herbes. Elle jeta un regard derrière elle pour vérifier que Denaï la suivait bien. Elle se stoppa net, fixant le jeune.

“Essaies de ressentir chacun de tes membres, chacun de tes muscles. Si tu les distingue tous, que tu les sens tous, tu es enfin en harmonie avec ton corps. Tu pourras courir pendant des heures parce que tu connaîtras le rythme de ton cœur. Tu accéléreras ta course puisque tu demanderas à tes pattes d‘agrandir leurs foulées plus que tu ne le fais habituellement. Concentre toi sur chaque petite parcelle de ton corps et guides les.”

Et la louve repartit aussitôt. Toujours dans une cadence régulière; elle attendait que Denaï la rattrape.
C’était une excellente idée d’entraîner de cette manière un jeune mâle comme lui. Il n’aurait certainement pas apprécié de la théorie. Alors que poursuivre Mara tout en écoutant comment mieux se servir de son corps, était certainement plus ludique. Et puis cela faisait également du bien à la louve de s’amuser un peu.

En plein vol, Dénaï constata que Mara bondit vers l’avant. Il ne pouvait en espérer moins de cette louve impressionnante… Elle devait bien sur s’y être préparée. Mais Dénaï peut préparer a toute chose tomba assez maladroitement sur le sol, et trébucha légèrement avant de ce lancer à la course de la grande louve beige.
Diable, ce qu’elle courrait vite comparer à lui ! Dénaï commença dès lors à courir plus vite que sa vitesse de course simple. Il avait déjà les yeux fixés sur son objectif : la patte arrière de Mara. S’il pouvait la toucher, il considérerait alors la victoire comme sienne. Mais c’était loin d’être gagné ! La louve avait pris une bonne longueur d’avance et le jeune se mit à courir de plus en plus vite autant qu’il le pouvait. La langue bleue sortit et pendante, il courrait et courrait vers elle.
“Essaies de ressentir chacun de tes membres, chacun de tes muscles. Si tu les distingue tous, que tu les sens tous, tu es enfin en harmonie avec ton corps. Tu pourras courir pendant des heures parce que tu connaîtras le rythme de ton cœur. Tu accéléreras ta course puisque tu demanderas à tes pattes d‘agrandir leurs foulées plus que tu ne le fais habituellement. Concentre toi sur chaque petite parcelle de ton corps et guides les.”
Dénaï sentait sa respiration s’accéléré, son sang battait à ses tempes de plus en plus vite, ses poumons n’étaient pas encore obstrués de sang. Il faut un certain temps avant que cela arrive. En attendant il courrait. L’herbe défilait a une grande vitesse sous lui, il avait a peine le temps de poser ses pattes au sol qu’elles décollaient à nouveau pour une nouvelle foulée. Ses jambes s’étendaient au maximum, chaque centimètre de ses pattes lui servait, griffes bleutées sorties pour s’ancrer au sol et s’élancer vers l’avant.
Il s’amusait, c’était un entrainement sous forme de jeu et il adorait ça. Le sourire aux lèvres il poursuivait Mara de son rythme rapide et élancé. Les paroles de Mara semblaient être si précises et elle savait de quoi elle parlait… Ce qui motiva d’avantage le jeune qui s’éfforcait d’accélérer son rythme du moins qu’il le pouvait.
Court Dénaï, court !

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